Résumé : L’homme, plus calme que sa femme, mais suffisamment troublé, les mains croisées derrière la nuque en signe de grand malheur, expliqua : « Oui, le malheur est arrivé ; mon âne m’a parlé ! » Et les voisins venus aux appels au secours repartirent en courant le plus vite qu’ils pouvaient, redoutant que l’âne de Rawidyan ne se remette à parler en leur présence…