Résumé : « Aïsha trouva le Mahdi assis en trailleur sur son tapis de prière. Contrairement à ses habitudes, il répondit au sallam de la jeune fille avec beaucoup d’entrain. Aïsha se demandait pourqoui cet homme se donnait tant de mal pour tuer des innocents sous prétexte qu’il défendait la cause d’Allah. Avait-on besoin de faire la guerre pour amener les hommes au Dieu véritable ?
Dans « Et Yallah s’exila », l’auteur s’interroge sur un monde en proie aux intérêts égoïstes, des humains qui sont devenus de véritables ogres assoiffés du sang de leurs semblables.